Ce qu’on vous ne dit pas sur la Silicon Valley

 

Destination les Etats-Unis pour un reportage sur La Silicon Valley, au sud de la baie de San Francisco en Californie. Cette dernière accueille de nombreuses start-ups et entreprises internationales de technologies. Apple, Facebook et Google font partie des plus connues.

 

C’est également le site d’institutions technologiques centrées autour de l’université de Stanford, à Palo Alto. Le musée de l’Histoire de l’Ordinateur et le Ames Research Center de la NASA se trouvent à Mountain View, tandis que le Tech Museum of Innovation est à San José. Le développement de cette région du sud de la baie de San Francisco a transformé le quotidien des gens qui y vivent, en plus d’y bouleverser l’économie et le marché immobilier.  Découvrez un très bon reportage de France 2 ci-dessous.

 

 

 

Oui, à ce stade, la réputation de la Silicon Valley et de la région de la baie de San Francisco est largement connue, qui sont les zones avec les coûts de logement les plus élevés aux États-Unis. Le coût mensuel moyen de 4½ est de 3 630 $ US. En fait, la ville de San Francisco occupe même la deuxième place du classement mondial, après Hong Kong, où le prix moyen d’un hébergement similaire à Hong Kong est de 3 685 $ US par mois. L’espace limité, les emplois convoités proposés par les entreprises technologiques et l’atmosphère exotique de la Californie ont tous contribué à la hausse du prix des stocks de location de la baie de San Francisco.

 

C’est cher d’y vivre! Mais le salaire est-il plus élevé? Les salaires sont en effet plus élevés qu’ailleurs. Le travail technique a apporté des récompenses aux employeurs et aux employés. Cependant, à l’exception des logements trop chers, le coût de la vie est si cher que les familles avec un salaire de 117 000 $ sont considérées comme des familles à faible revenu. En revanche, le seuil de faible revenu pour une famille montréalaise est de 38 544 $.

 

Les succès des nouvelles technologies suscitent les convoitises dans la Silicon Valley, notamment auprès des agents immobiliers, qui attendent les bras ouverts les nouveaux riches du secteur, prêts à dépenser des fortunes pour leur “home, sweet home”.

Agence Colmar